🍻 Maison Avec Sous Sol Sur Terrain En Pente

Cettemaison d'architecte contemporaine de 157 m² est prévue pour s'adapter aux terrains très en pente.Son garage en sous-sol est encastré dans la terre, ce qui permet d'installer au dessus une zone de plain pied pour la maison (pièces de vie et chambres) en surplomb par rapport au terrain permettant ainsi la construction d'une terrasse et d'une piscine à débordement.

Accueil > Maison contemporaine sur terrain en pente flash info Découvrez cette grande maison à étage, située dans l'Isère, proche de Bourgoin-Jallieu. Nous avons conceptualisé cette maison très moderne, avec nos clients, en fonction de la particularité du terrain qui est en pente. Nous avons imaginé la maison avec un garage en sous-sol, une pièce de vie hautement spacieuse et très lumineuse grâce à de grandes ouvertures, une suite parentale avec douche italienne et baignoire îlot au rez-de-chaussée. Concernant l'étage, nous retrouvons trois chambres avec leur salle de bains et un WC séparé. Performances RT2012 Bbio à -15% par rapport à la RT et Cep à -20% par rapport à cette RT. Nous écrire Les champs indiqués par un astérisque * sont obligatoires Suivez-nous ! Parlez nous de votre projet Maisonsur trois niveaux. Sous - sol. Rez-de-chaussée. R+1. La maison abrite au premier niveau (volume bleu vert) un garage et un atelier, au deuxième niveau (volume gris kaki) la zone de jour et au troisième niveau (volume orange foncé) Faire construire une maison sur un terrain en pente est possible. Cependant, ce type de projet demande une bonne préparation en amont. Les contraintes imposées par le terrain obligent à faire intervenir des professionnels. La construction doit absolument s’adapter au dénivelé et être solide pour tenir face aux risques naturels. Plusieurs techniques sont possibles pour la construction sur un terrain en pente encastrée ou semi-encastrée, sur pilotis ou encore en paliers. Nous vous les présentons plus en détails dans notre article. Construire en pente quels sont les risques ? La construction d’une maison en pente n’est pas sans risques. Des accidents peuvent survenir, aussi bien naturels que lié à la construction. Il est important de bien prendre en compte ces différents risques Éboulements et avalanches dans les régions montagneuses ; Fissures liées à la sécheresse du terrain ou à la présence d’argile ; Affaissement de terrain voir effondrement à cause de la présence de cavités souterraines ; Terrain instable dû à la présence de remblais ; Des glissements de terrains ou de boues lors de fortes intempéries. Pour palier à ces problèmes, la construction devra avoir de solides fondations. Celles-ci seront semi-profondes ou profondes et auront le même encastrement. La législation autour de la construction en pente Avant de vous lancer dans votre construction, vérifier si celle-ci respecte le plan local d’urbanisme de votre commune. Celui-ci est facilement consultable en mairie. Pour éviter au maximum les risques, la construction sur un terrain en pente est soumise à l’obtention d’un permis de construire. Celui-ci doit être accompagné de différents documents pour être valide étude géologique et géotechnique, expliquer les travaux envisagés. Il sera accepté lorsque le projet de construction sera en accord avec le plan local d’urbanisme de la commune. Il est aussi fortement conseillé de faire réaliser une étude de sol. Même si celle-ci n’est pas obligatoire, elle permet de connaître les caractéristiques du sol et ainsi d’éviter les mauvaises surprises lors des travaux. Les solutions pour construire en pente Pour trouver la solution la plus adaptée à votre terrain, il est nécessaire de connaître le type de pente pente douce, modérée ou forte. Pour cela, il existe une formule mathématique permettant de calculer l’inclinaison de la pente pente % = dénivelé m / longueur parcourue m. Construction en encastré ou semi-encastré Un des premières solutions possibles est de construire votre maison en semi-encastré ou encastrée. Ce type d’installation offre une optimisation thermique. La partie enterrée permettant de chauffer et de protéger naturellement la maison. De plus, elle s’intègre parfaitement au paysage, car elle respecte la typologie du terrain. Elle est donc très utile pour la construction d’une maison en montagne. Néanmoins, en optant pour cette solution, vous vous limiterez quant aux possibilités d’ouverture. En effet, il est impossible de choisir l’implantation et l’orientation de la maison. Autre inconvénient, elle demande des travaux de déblaiements plus ou moins importants, pouvant ainsi faire augmenter le prix de la construction. Construction sur pilotis Aussi appelée construction en belvédère, c’est la solution qui demande le moins de terrassement et qui s’adapte le mieux aux terrains en forte pente. La maison surplombera le terrain, offrant une vue magnifique ! L’inconvénient principal étant que l’accès ne pourra se faire que d’un seul coté. De plus, ce type de construction est très complexe. Elle demande la mise en œuvre d’un système porteur permettant de maintenir le poids de l’habitation. Ce qui implique de faire appel à un professionnel et demande donc un budget conséquent. Construction en paliers ou en gradins Cette solution de construction permet une implantation de la maison qui suit la pente du terrain. Ainsi, la maison sera réalisée grâce à une succession de niveaux ou demi-niveaux selon le niveau de la pente. Contrairement à une construction en encastrement, il y aura un faible volume de déblais, ce qui fait baisser le prix de la facture concernant les travaux. Elle permet aussi une plus grande liberté concernant l’orientation de la maison. Vous pourrez ainsi bénéficier de meilleurs points de vue. Mais attention, il faudra réfléchir en amont quant à l’aménagement intérieur. En effet, cette construction implique l’utilisation d’escaliers pour passer par les différents niveaux. Ce qui peut rendre la circulation intérieure plus compliquée. Faire attention aux accès Il est important de savoir qu’il est interdit de construire sur un terrain enclavé. Vous serez ainsi dans l’obligation de créer une voie permettant d’accéder à votre maison. Par exemple, dans le cas du garage, celui-ci doit être créé au même niveau que la route. Ainsi, lorsque la route se situe en dessous de la parcelle, le garage doit être construit au sous-sol. À l’inverse, le garage sera implanté à l’étage. De plus, en fonction de l’inclinaison de la pente, il sera peut-être nécessaire de réaliser des virages pour adoucir la descente. Coût d’une construction en pente Avant de décider d’acheter un terrain en pente, il est important de prendre en compte que votre construction sera plus onéreuse que sur un terrain plat. En cause, de nombreux travaux supplémentaires à réaliser. Le prix variera énormément selon les paramètres suivants Une pente au-dessus de 15 % engendra des coûts très élevés ; La nature du sol qui peut influencer les fondations ; L’accessibilité du terrain et les accès à créer ; Le terrassement à effectuer ; Le type de construction choisi pilotis, paliers, encastrée ou semi-encastrée. Vous aimerez aussi La maçonnerie arrondie vous intéresse construction d'un mur courbe, d'une cloison en arc de cercle ? Voici des conseils pour réussir vos travaux ! La nature du sol détermine le type de fondations d'un bâtiment. Fondations superficielles ou profondes, quelles sont leurs caractéristiques ? Faire construire sa maison est souvent le rêve d'une vie. Gardez la tête froide et découvrez nos 11 astuces pour faire de votre projet une réussite. Les risques en construction de maison sont nombreux. Pour qu'ils ne bloquent pas votre projet, apprennez à les identifier et à les analyser avec soin. 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Aujourd’hui, les grandes barres d’immeubles n’ont plus vraiment la côte. Pour avoir une maison unique, à son image et vivre en accord avec l’environnement, les habitats alternatifs prennent le pas sur l’immobilier traditionnel. Parmi ceux-ci, les maisons semi-enterrées tendent à se poser en tant que véritable solution d’avenir. Quitte à construire leur propre logement, les français commencent à préférer des structures plus responsables et originales telles que le sont les maisons semi-enterrées. Qu’est-ce qu’une maison semi-enterrée ? Les spécificités des maisons semi-enterrées Les maisons classiques sont construites sur terre. C’est-à-dire que peu importe dans quelle pièce le résident se trouve, il est toujours au-dessus du niveau de la terre. Toutes les pièces de vie – chambres, salon, cuisine – peuvent alors éclairées naturellement uniquement grâce à la lumière du soleil, et en théorie, il est possible à leur construction d’intégrer des fenêtres de tous les côtés du bâtiment. Il est important de préciser qu’une maison avec une cave ou un sous-sol enterré n’est pas considérée comme une étant une maison semi-enterrée. En effet, la spécificité principale des maisons semi-enterrées est qu’une partie des pièces à vivre se trouve sous terre. Maison semi-enterrée verticale ou horizontale ? Attention, il ne faut pas pour autant confondre maison semi-enterrée et maison complètement enterrée. En effet, contrairement à la maison enterrée, la maison semi-enterrée possède une grande partie de ses pièces à l’air libre. En d’autres termes, une maison semi-enterrée est une construction qui prend le pli du terrain sur lequel elle est construite. De cette manière, au lieu d’aplanir le sol pour en faire une plateforme plate sur laquelle construire l’habitation, la maison semi-enterrée s’intègre aux courbes et aux pentes du paysage pour respecter les caractéristiques naturelles de celui-ci. Son architecture parfois surprenante est donc facilement reconnaissable. Aussi, une maison semi-enterrée possède au moins deux niveaux différents le rez de chaussée et le rez de jardin. Comment fonctionne une maison semi-enterrée ? Avant toute chose, la maison enterrée est une maison qui fonctionne en accord avec le terrain sur lequel elle est construite. Qu’il s’agisse d’une maison semi-enterrée dite horizontale ou bien plutôt d’une maison semi-enterrée verticale, la base reste inchangée c’est l’étude du terrain qui fera que la maison s’adapte à lui, et non pas l’inverse. Dans tous les cas, on accède à la maison semi-enterrée par une entrée qui se fait au niveau du sol. Les maisons semi-enterrées à l’horizontale se fondent presque dans le décor du terrain et bien souvent, leurs toitures sont vertes, c’est à dire faites directement du sol de terre de la colline sur laquelle est construite l’habitation. Les maisons semi-enterrées verticales ont quant à elles une architecture plus haute, plus longiligne, ce qui leur permet d’offrir des panoramas uniques sur l’environnement qui les entoure. L’importance de la lumière Les pièces qui sont enterrées sont des espaces que l’on appelle “de service” par opposition aux pièces à vivre. Ces pièces de service sont généralement des salles de bain, des buanderies, des selliers, des gardes-manger mais aussi des toilettes. Les pièces à vivre, comme les séjours, les chambres et les cuisines, sont quant à elles exposées à la lumière naturelle. Concernant la luminosité de la maison, celle-ci est souvent apportée par des fenêtres et de baies vitrées dans les pièces à vivre, tandis que dans les pièces de service on utilise davantage des ouvertures hautes tels que des puits de lumière. Les avantages Isolation Etant donné que les maisons semi-enterrées sont issues d’un plan de construction différent des maisons hors sol traditionnelles, celles-ci ne possèdent pas les mêmes besoins énergétiques. Bien plus écologiques, les maisons semi-enterrées sont en effet en mesure de garder plus facilement une température, c’est ce que l’on appelle l’inertie thermique. En hiver par exemple, les pièces enterrées sont directement en contact de la terre par leurs murs. Cette caractéristique spéciale agit en tant que véritable isolant naturel et empêche toute déperdition de chaleur. Pareillement, en été, les pièces enterrées conservent mieux leur fraîcheur. Car puisqu’elles calent leur température à celle de la terre, elles restent agréables car elles ne sont pas impactées par la chaleur des rayons du soleil. Economie et gestion de l’eau En ce qui concerne la gestion de l’eau, de nombreux futurs propriétaires de maisons semi-enterrées s’inquiètent de l’humidité de ce type d’habitation. Aujourd’hui, les constructeurs de maisons semi-enterrées proposent des technologies de qualité, haut de gamme, qui empêchent tout inconvénient relatif à l’infiltration d’eau de pluie dans l’habitation. Au contraire, il existe désormais des systèmes modernes permettant de protéger les murs de la maison et qui renvoient l’eau vers des réservoirs souterrains. Ces derniers stockent l’eau et s’en servent pour alimenter les appareils de la maison comme la machine à laver ou le lave-vaisselle. De cette manière, en plus d’être toujours plus écologique, la maison semi-enterrée est une véritable source d’économies. Les maisons semi-enterrées écologiques La maison semi-enterrée bioclimatique Comme toute maison semi-enterrée, la maison semi-enterrée bioclimatique organise sa construction en fonction du terrain. Celui-ci doit être en pente pour permettre à l’habitat de s’y intégrer de la manière la plus naturelle et la plus écologique possible et ainsi de profiter de l’inertie thermique de la terre. En ce qui concerne la caractéristique bioclimatique de ce genre de maison, elle dépend du fait que la maison respecte certains critères au moment de sa construction. Une maison bioclimatique doit par exemple utiliser le plus de matériaux naturels possibles, faire que la maison semi-enterrée possède un toit végétalisé et utiliser au maximum des énergies renouvelables pour fonctionner. En effet, une maison semi-enterrée bioclimatique doit être orientée au sud. De cette façon, elle profite le plus possible de l’ensoleillement naturel, et peut réutiliser cette énergie solaire au quotidien. Il faut également utiliser des matériaux naturels pour isoler le logement, comme du chanvre ou encore du bois au lieu de la laine de verre, traitée chimiquement et à l’empreinte carbone très lourde. Les maisons semi-enterrées bioclimatiques misent également sur des ouvertures à double vitrage, des panneaux solaires pour le chauffage et l’eau chaude sanitaire du foyer, mais aussi des cuves de récupération des eaux de pluie réutilisables pour alimenter les chasses d’eau des toilettes par exemple. La maison semi-enterrée passive La maison passive est un type de maison d’un nouveau genre. Bien loin des habitats classiques et traditionnels, la maison passive n’est autre que l’avenir en matière d’immobilier écologique. En effet, les dérèglements climatiques font qu’il est urgent de prendre soin de ce qu’il reste de la planète. Entre l’eau du foyer et l’électricité nécessaire au ménage, les logements sont extrêmement énergivores. C’est pourquoi, pour allier économies financières et économies d’énergies, la maison passive se pose en solution idéale. Aussi appelée “maison sans chauffage”, la maison passive est isolée de sorte à ce que l’habitation reste à la même température quelle que soit la saison. Grâce à des normes d’installations permettant une ventilation optimale, une parfaite étanchéité de l’air et des déperditions de chaleur inexistantes, la maison passive est un logement à très basse consommation. La maison passive est donc presque totalement autonome. Elle fonctionne grâce à des énergies vertes comme l’énergie solaire, et ne demande que très peu d’électricité. Il est bon de savoir que les maisons passives ne sont pas uniquement des constructions neuves. De nombreux foyers décident de faire des rénovations passives, permettant alors à leur logement d’être plus responsable et moins coûteux sur le long terme. Les types de maisons semi-enterrées originales La maison bulle semi-enterrée Parmi tous les types d’habitation qui existent, la maison bulle est sûrement l’un des plus originaux. S’il est loin d’être courant d’en voir dans le paysage urbain, c’est parce que ce type de logement demande généralement beaucoup d’espace. Facilement reconnaissables grâce à leur façades bourgeonnées, les maisons bulles sont à la base des maisons faites pour que leurs occupants s’y sentent à l’aise, en s’éloignant pour cela des lois d’économie d’espace portées par des lignes droites et des pièces carrées sans âme ni personnalité. Prônant l’originalité pour créer le bien-être chez soi, ces maisons peuvent être hors sol, semi-enterrées ou bien presque totalement intégrées dans la terre. En ce qui concerne les maisons bulles semi-enterrées, elles sont à la pointe de la tendance. Pour leur construction, il faut simplement utiliser le même mode de mise en place que pour les maisons semi-enterrées pour ce qui est des pièces sous terre, et concernant la façade, les bulles sont construites en béton armé et reposent sur une armature courbée en fer, une technique très utilisée pour ce genre d’habitation. Les maisons bulles ont la particularité d’être spécialement esthétiques et de se fondre dans le paysage. Alors certes, elles s’y adaptent d’une manière très originale qui peut être surprenante, mais néanmoins cela reste artistique et finalement en harmonie avec leur environnement. La maison conteneur semi-enterrée Depuis quelques années déjà, les constructions en conteneur sont de plus en plus populaires. Tout à fait adaptées à la vague immobilière liée au recyclage de matériaux, les maisons conteneurs allient originalité, confort et écologie. Ces habitats sont réalisés avec un ou plusieurs conteneurs maritimes utilisés pour transporter des marchandises par bateau lors de leur première vie. Pour être transformés en maison, ces conteneurs sont reconditionnés et mis aux normes en vigueur. Leur étanchéité étant déjà effective, il suffit de construire des piliers en béton pour assurer l’adhérence des conteneurs, et d’ajouter quelques ouvertures pour les portes et fenêtres à venir. Les avantages des maisons conteneurs sont nombreux. D’abord très peu coûteux à l’achat, les conteneurs s’installent facilement et rapidement. Ils s’adaptent également à tous types de terrains. Particulièrement modulables, les conteneurs sont parfaits pour les constructions semi-enterrées. En effet, il est très facile d’intégrer ce genre de modules au paysage. Solides et à la durée de vie presque infinie, ils créent des maisons des plus originales avec des matériaux recyclés. Aujourd’hui, de nombreux constructeurs sont en capacité de réaliser de superbes maisons et appartements à partir de conteneurs, ce qui rend le projet de maison semi-enterrée en conteneur encore plus simple. La maison semi-enterrée en kit Faire construire une maison coûte toujours énormément d’argent. Pour économiser sans pour autant renoncer au projet de créer une maison eux-même, de nombreux propriétaires se tournent vers les maisons en kit. Les maisons dites “en kit” sont en réalité des logements dont les murs – qu’ils soient porteurs ou non – et généralement aussi la toiture sont préfabriqués, dans des matériaux innovants, c’est-à-dire sans béton mais avec du bois ou du métal par exemple. Une fois le plan de la maison défini, les maisons en kit sont livrées, clés en main. Elles sont montées sur le terrain choisi par les propriétaires et peuvent être presque immédiatement habitables. Les maisons en kit sont donc particulièrement modulables. C’est pourquoi, il n’est pas rare de voir ce genre de construction être privilégiée par les propriétaires de maisons semi-enterrées. En effet, très pratiques, les maisons en kit s’adaptent facilement à leur environnement. En plus, cette stratégie permet de réduire toujours plus les coûts de montage de la maison, et de favoriser l’économie d’énergies de la maison. Particulièrement résistantes et isolées de manière spécifique, les maisons semi-enterrées en kit ont de beaux jours devant elles. Comment construire sa maison semi-enterrée ? Avoir un permis de construire Construire une maison semi-enterrée est un projet qui se travaille. Pour cela, il est nécessaire de faire des études sur le terrain choisi, afin de s’assurer que ce dernier soit en mesure d’accueillir la maison. D’autre part, il faut que vous obteniez un permis de construire. Pour cela il faut que vous consultiez le PLU Plan d’Urbanisme Local, accessible gratuitement dans la mairie de la commune sur laquelle se trouve le terrain à construire qui accueillera votre maison semi-enterrée. Cette étape est essentielle afin de bien respecter tous les critères qui vous permettront ensuite d’obtenir votre permis de construire. Quels sont les prix ? Les prix des maisons semi-enterrées sont variables. Ils dépendent de la surface à construire, des propriétés du terrain, des pièces de la maison, de la présence d’étages ou d’un garage… Cependant, de manière assez générale, on peut estimer que pour une maison semi-enterrée le prix au mètre carré se situe entre 700€ et 1 000€. Aussi, pour une maison de 100m2 habitables, il faut compter un minimum de 70 000€ pour la construction. Les matériaux choisis, le type de maison semi-enterrée mais aussi l’exposition géographique de la région sont des critères aléatoires qui peuvent faire augmenter le prix de construction des maisons semi-enterrées, qui restent cependant moins coûteuses que des maisons entièrement enterrée.

Maisonsà vendre, Maisons à Tavira ou Loulé, Envie d’acheter une maison? Sur le plus Grand Portail Immo National nous avons des milliers d’ appartements et maisons à Lisbonne, Porto et partout dans le pays. La construction sur un terrain en pente doit prendre en compte les contraintes liées au relief. La construction doit s’adapter au relief de manière harmonieuse et la structure doit être stable. Les enjeux d’une telle construction sont importants. Avant d’entreprendre des travaux de grande ampleur, ces enjeux doivent être pris à la juste mesure. Construction sur un terrain en pente point sur la législation La réalisation d’une construction sur un terrain en pente est soumise comme toutes les autres constructions neuves à l’obtention d’un permis de construire. À celui-ci doivent être joint des documents techniques étude géologique et géotechnique du sol, les travaux envisagés accès… Le permis de construire lié à la construction d’un terrain en pente est accepté dès lors que le projet de construction est conforme aux exigences du PLU. Un terrain peut être soumis à un ou plusieurs risques pouvant influer sur la construction future. Que ce soit sur le déroulement des travaux ou la structure de votre future maison. Il est donc également important de prendre connaissance des risques les plus courants. La consultation du Plan de Prévention des Risques Naturels est la meilleure option à prendre. Ce document est consultable dans toutes les mairies. Construction sur un terrain en pente calcul de la pente Le pourcentage de la pente du terrain permet de connaître le type de pente pente douce, modérée ou forte. Connaître l’inclinaison de la pente est indispensable pour établir un plan de construction adapté aux contraintes du terrain. Calculer une pente en pourcentage à partir de la hauteur et de la distance horizontale Pente = Hauteur / Distance horizontale x 100 Exemple Hauteur 25, Distance horizontale 65. Pente = 25 / 65 x 100 = % Note La pente d’accès à la construction doit répondre aux exigences du PLU Plan Local d’Urbanisme Construction sur un terrain en pente les risques Les glissements de terrain Selon les terrains, le niveau de risque de glissement varie, mais s’accentue sur les terrains en pente. Les mouvements de terrain se caractérisent par la gravité terrestre exercée sur des éléments instables. Ils peuvent être naturels avalanche, coulées de boue ou liés à la nature du terrain sols instables. Mais encore à la construction fondations inappropriées. Les mouvements de terrain peuvent mettre en péril le bâti, mais surtout ses habitants apparition de fissures, glissements ou tassements de terrains. Des mesures de stabilisation des versants sont à prendre dans ce cas-là. Ceci peut se faire en plantant des arbres ou des piquets, en amont et en aval du terrain, et en gardant une bonne distance face au talus. Des mesures d’évacuation des eaux de pluie sont également conseillées. La protection contre le risque de glissement de terrain passe par l’étude du phénomène nature de terrain, vitesse de déplacement, volume déplacé, facteur déclenchant, qui conduit à l’exécution de travaux de stabilisation. Les techniques de stabilisation des glissements peuvent être classées en 3 catégories Les terrassements Modification de la topographie du glissement afin de retrouver une situation d’équilibre, L’allègement en tête de glissement qui consiste à décharger la “tête du glissement”. Ce déchargement entraîne une diminution de la masse et donc des forces motrices. Il est également possible d’augmenter la stabilité d’un terrain en réduisant sa pente. Cette solution est adaptée pour des talus non naturels ou de faible extension. Cela reste généralement difficile à mettre en œuvre sur les versants naturels, La purge totale qui consiste à supprimer les matériaux glissés. C’est une solution seulement applicable aux glissements de taille modeste, de faible profondeur, La substitution partielle, lorsque la purge totale n’est pas possible, la substitution se limite à des bêches, des contreforts, des masques ou des éperons qui, s’ils sont bien dimensionnés, peuvent suffire à la stabilisation. Le chargement en pied qui consiste à construire un ouvrage de butée en pied de glissement afin d’équilibrer les forces motrices et de contenir les déplacements de la masse instable. Il est en général associé à du drainage. Les dispositifs de drainage L’eau joue très souvent un rôle déterminant dans les glissements de terrain, que ce soit par son action mécanique, physico-chimique ou chimique. Les dispositifs de drainage ont pour rôle de réduire l’action de l’eau soit en évitant l’alimentation en eau du site, soit en expulsant l’eau présente dans le massif instable. Le drainage de surface est un moyen pour limiter les infiltrations dans les terrains en mouvements en collectant et en canalisant les eaux de surface cunettes, caniveaux, fossés, etc.. Les drains subhorizontaux qui consistent à réaliser de nombreux forages quasi horizontaux dans le glissement et pour y placer des drains tubes en PVC ou en acier ainsi qu’un dispositif de captage des eaux. C’est la technique utilisée lorsque les contraintes d’accessibilité du site ou de profondeur de la nappe interdisent la réalisation de tranchées Les tranchées drainantes qui permettent de rabattre le niveau des nappes phréatiques diminuant ainsi les pressions interstitielles au niveau de la surface de rupture. Le drainage profond qui permet de collecter et d’évacuer les eaux à l’intérieur du massif et dans la masse instable. Cela permet de diminuer les pressions d’eau dans le massif, d’éviter les mises en charge brutales dans les discontinuités et d’abaisser le niveau de la nappe. L’introduction d’éléments résistants La mise en place d’éléments résistants n’influe pas directement sur la cause du mouvement, mais sur ses conséquences. Les éléments résistants type ouvrages de soutènement, tirants, ancrages, rangées de pieux… visent à réduire ou arrêter les déformations. Ces techniques sont intéressantes dans le cas où les techniques de stabilisation, type terrassement ou drainage, ne peuvent être techniquement ou économiquement mises en œuvre. Voir notre article sur les murs de soutènement Le tassement différentiel Lorsqu’on construit une maison sur un terrain en pente, les fondations sont parfois ancrées à différentes profondeurs dans le sol, en suivant la pente. Une telle configuration accroît le risque de tassements différentiels, en particulier en cas de non-respect des dispositions constructives requises, comme le dimensionnement des fondations. Le tassement différentiel est consécutif à un mouvement ou compactage du sol qui n’est pas uniforme. Généralement, des fissures apparaissent sur les constructions subissant de fortes tensions, à la suite de tassements différentiels. Pour éviter les tassements différentiels et limiter le risque de fissures sur les maisons, il est essentiel de descendre de manière homogène les fondations, de façon à ce qu’elles atteignent une assise stable. De plus, la pente nécessite, avant la construction, des travaux de terrassement, de remblaiement ou de soutènement. Ces travaux ont bien souvent un coût non négligeable et peuvent augmenter sensiblement le prix d’une construction de maison. Par ailleurs, les terres déplacées sont ainsi décompactées et les constructions ne doivent pas s’appuyer sur ces terres. Les eaux de ruissellement Le code civil établit une servitude naturelle d’écoulement des eaux ». Si votre terrain est en contrebas fonds inférieur d’un ou plusieurs autres fonds supérieurs mauvaise nouvelle, vous avez l’obligation de recevoir les eaux de ruissellement qui s’écoulent des terrains en amont. Il s’agit d’une servitude de droit dite de l’écoulement naturel des eaux ». Champ d’application de la servitude de l’écoulement naturel des eaux Les eaux naturelles, c’est-à-dire les eaux de source, de pluie, de fonte des neiges. Bien heureusement, le déversement des eaux usées, ménagères ou industrielles en revanche, n’est pas concerné par cette servitude de droit ;L’écoulement des eaux doit être le résultat de la configuration des lieux c’est-à-dire en raison d’une pente, d’un terrain surélevé… mais en aucun cas ne doit être le résultat d’une construction ou d’un aménagement fait par le propriétaire. Droits et obligations du propriétaire du terrain inférieur » Si une servitude pèse sur votre terrain, vous ne pouvez donc rien faire pour arrêter cet écoulement. Il vous est strictement interdit de construire une digue ou une clôture qui aurait pour effet de bloquer l’écoulement des eaux. Vous ne pouvez pas, non plus, réclamer une quelconque indemnisation pour le désagrément que vous subissez. Cependant, vous avez néanmoins le droit d’user et de disposer des eaux pluviales qui tombent chez vous. Vous pouvez récupérer l’eau de pluie pour divers usages arroser votre jardin, laver votre voiture,… grâce à des récupérateurs d’eau. L’écoulement naturel des eaux n’est donc pas considéré comme un trouble anormal du voisinage qui peut donner lieu à une indemnisation du propriétaire du fonds inférieur. Cependant, ce ruissellement naturel peut devenir un trouble anormal de voisinage si l’un des propriétaires cause une aggravation de l’écoulement naturel des eaux ;et que cela occasionne un préjudice pour le propriétaire du fonds inférieur. Dans ce cas seulement, le propriétaire qui connaît un préjudice peut exiger de son voisin d’effectuer des travaux permettant de faire cesser le trouble ou demander une indemnisation. xyEcaX. 123 164 210 44 388 18 79 163 276

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